Massive et ayant une forme spéciale style des maisons fortes de boyard, la maison a été construit probablement par l'échanson Costache Jianu, le père de Iancu Jianu, à la fin du XVIIIe siècle, étant un bâtiment avec rez-de-chaussé, étage et un cellier. Le  rez-de-chaussé est de 20 cm au-dessous du niveau du sol et se compose de trois chambres de dimensions modestes, probablement la cuisine et les éspaces pour déposer aliments l'entrée principale ayant des portes en chêne massif avec charnières en fer travaillées par les forgerons du temps. A l'étage il y a trois chambres et une véranda en verre orientée vers le nord comme l'entrée principale de la maison. Le cellier a des créneaux dans le mur sudique et des petites fenêtres, probablement utilisés en cas de siège. L'ensemble monumental comprend la maison, les annexes et la chaunière.

Dans cette maison a passé une partie de sa vie Iancu Jianu, une personnalité de l'histoire de Caracal, né dans une famille de boyards de la classe moyenne dont les membres ont eu des charges  différentes près de  règne et aussi dans l'administration loacale du comté.  

Iancu était le plus jeune de quatre enfants d'échanson Costache Jianu. Il est né à Caracal en 1787. Caractère forte, à l'âge de 23 ans, Iancu Jianu devient haïdouc et combattant pour la justice des pauvres. Il est dit de prêter serment devant le prêtre Antonie Bazaclin-Zugravul du monastère Surpatele (où était prieure Agapia Jianu, la sœur de la mère des frères Jianu) du lutte à mort contre les phanariote parvenus" qui opprimaient le peuple roumain.

Il était un bon cavalier et tireur, et comme aspect, Ion Ghica l'a décrit comme "un homme bas, trapu, haut en couleur, rouge et avec une moustache épaisse et courte" habillé en "Une bure, pantalons et jaquette fourrée, sur la tête casquette, pistolets à la ceinture et un couteau avec poignée en os et fusil dans sa main droite ".

Bien que presque toutes les sources disent que Iancu n'avait pas de sœur, la légende du monastère Surpatele ( département Vâlcea), lieu de prière et de consolation de la famille Jianu, veut que la sœur d'Iancu, Florica, fiancée de Tudor Vladimirescu, y a été enterré en 1820 la sœur d'Iancu, Florica, fiancée de Tudor Vladimirescu, elle étamt volée et violée la nuit des fiançailles par le serdar Stoica, le gouverneur de l'Olténie. Pour cet acte, il a été capturé, jugé et tué par le boyar-haïdouc Iancu Jianu à la tombe de sa sœur.

Pendant sept ans, Iancu Jianu a été arrêté et libéré à plusieurs reprises, chaque fois sans être puni parce que ses frères obtenaient pour lui la grâce.

Il était un participant actif avec le grade de capitaine dans l'armée de Tudor Vladimirescu en 1821. En 1823, se retire au manoir de la périphérie de la communeFălcoiu-Sa vie est éteinte le 14 décembre 1842 à l'âge de 55 ans.

Il est enterré à Caracal et dans le mur de l'église „Adormirea Maicii Domnului“, fondée par la famille Jianu, est encastrée la plaque funéraire d'Iancu Jianu.

L'année 1949, sa maison était encore habitée, le dernier propriétaire étant Gică Dobruneanu fils de Nae Dobruneanu et de Zinca, fille d'Iancu Jianu. Un an plus tard, la maison commence à se détériorer sérieusement, d'abord en s'effondrant la partie du nord-ouest.

Aujourd'hui, après la reconstruction commencée en juin 1957, après avoir fait des études détaillées et des alternatives de conception sous la supervision de l'architecte R. Mariani, la maison a trois entrées, dont l'une vers la cave. Dans une photo de la maison de 1928, il semble que l'accès à la maison se pourrait faire par quatre entrées, l'une à l'étage dans l'est de la véranda, desservi par un escalier extérieur en bois.

Les légendes disent que près de la maison commençe un tunnel de 400 m vers le sud de la ville et un autre vers une autre maison de la famille Jianu, qui sont utilisés à fuir en cas d'invasion turque ou d'attaque par surprise des troupes de gendarmes qui traquaient le haïdouc Iancu Jianu.

Devenue après la reconstruction, la section mémoriale "Iancu Jianu" du Musée de Romanaţi, qui a été inauguré le 29 septembre 1959, la maison elle-même et les précieuses pièces que  composent son inventaire (encrier et pinceau, pistolets à silex, mousquet, ceinture, la bota de l'eau, des objets personnels, des meubles et des articles ménagers, des photographies et des documents de famille Jianu), illustrent de façon convaincante le mode de vie et les troubles sociaux à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle.

 
 
 

En visitant la construction qui se trouve près du bâtiment lui-même, comme ce fut quand le haïdouc partagé la justice aux pauvres, on peut admirer une série d'œuvres telles que: "Iancu Jianu“, portrait réalisé en huile par la femme peintre Hortensia Popescu qui a vécu quelques temps à Caracal, le tableau du peintre  D. Stoica "La réunion de Iancu Jianu avec Tudor Vladimirescu dans un manoir", la lithographie d'artiste C. Isler "Iancu Jianu avec ses camarades dans la vallée d'Olt» ou la sculpture "Iancu Jianu" faite par Vasile Năstăsescu.

On peut également imaginer comment Iancu Jianu pourrait aider les pauvres, admirant un pistolet à silex incrusté d'argent avec la signature du haïdouc ou un psautier imprimé en 1784 à Râmnicu Vâlcea par le moine Clement Ramnicu Valcea.

 
 
 

Sur les feuilles du psautier avec des couvertures en bois recouvertes avec cuir, il y a des notes et des signatures de Iancu Jianu tels que:

"Le 24 mai 1835 de la volonté de Dieu, elle est née ma fille Zinca baptisée par ma belle-mère Aniţa Găleşeasca et pour savoir quand l'autre notre fille est née et le 10 août 1830."

Sous un psaume dans le livre duquel il abreuvai son âme, une autre note légèrement modifié:

"Moi, le sot et le pécheurj'ai gagné petite fille le 26 mai 1835 qui a été baptisée par ma belle-mère Aniţa Găleşeascaavec le nom Zinca et moi, lemortelpour se savoir j'ai écrit pour le souvenir et que quilira, dira:  Dieu pardonne celui qui a écrit  IANCU JIANU '"

Dans la cour a été porté de la périphérie du Caracalului la Croix de la famille Jianu" formée de deux blocs de pierre calcarifère de montagne, un pour moulin à foulon, et le second pour la croix.

Sur la croix il y a des traces visibles d'une inscription effacée par le temps tel qu'on ne peut lire rien. A la base, près du moulin à foulon, on peut discerner l'année où il a été réalisé: 1844.