Ce «bijou» de la ville est laissé à la postérité par Constantin Poroineanu, dans son certificat de naissance etant enregistrée l'année 1908, et est resté l'objectif le plus important d'architecture  paysagère de l'ancien distric ROMANATI, aujourd'hui le distric Olt, et l'un des plus beaux à travers le pays.

Fait par des architectes paysagistes français Pinard et Redont "Le parc de culture et de repos" a comme model Cişmigiu de Bucarest, fait lui aussi sur les plans des les deux Français. Il est situé à l'Ouest-Nord-Ouest de la ville, entre deux anciennes et populaires quartiers, Bold et Protoseni, près du centre administratif.

Il couvre une superficie de 25,5 ha, dont environ 16 ha représent la végétation, la différence étant occupé par des allées et des monuments d'art, du stade de football et des terrains de handball, un lac de loisirs avec une île disposé sur la rivière Gologan et d'autres aménagements urbains. La configuration de la terre a influencé le choix des espèces de plantes ligneuses et la disposition de la végétation, et le sol des plaines inondables avec un haut niveau des eaux souterraines a un rôle important dans la vie de cette véritable oasis de verdure. Le relief a été modélé avec l'inspiration, offrant au jardin public le naturel, la profondeur et la variation, en devenant un environnement favorable pour la vraie richesse des espèces végétales parmi lesquelles on note: épicéa, le pin de l'Himalaya, le pin noir, cyprès chauve ou cyprès de Louissiane, genévrier de Virginie, thuya, arbre de la vie, mahonia (original d'Amérique du Nord), ailante (Chine).

Les "vedettes" du jardin public, des vrais raretés végétales, sont l'arbre aux 40 écus (Ginkgo biloba), le même âge que le jardin public, cyprès chauve ou cyprès de Louissiane (Taxodium distichum), chêne pédonculé en forme de pyramide (Quercus piramidalis variété Pedun-de culiflora), l'arbre de la vie (Thuja orientalis ), le pin noir (Pinus nigra).

Une vraie axe du jardin public, en commençant par le monument du poète Mihai Eminescu et en s'arrêtant près du lac Obogeanu est l'Allée de peupliers, 1200 mètres de long, faite en 1913. Les quatre rangées parallèles de peupliers presque séculaires ayant des hauteurs vertigineuses, invite celui venu pour se recréer de la parcourir en récitant ou en fredonnant "Au long des peupliers" appartenant au poète auquel on vient de dedier l'entrée de l'allée. Ici aussi ils ont partagé leurs pensées des hommes de lettres, dans des longues promenades à l'heur de soir, deux amis poètes, Haralamb Lecca et George Coșbuc, qui est venu à Caracal à l'invitation du professeur Anton Eliade.

En 1925, le député de Romanaţi I.D. Ianculescu prend l'initiative de faire fondre en bronze d'un buste de Constantin Poroineanu car jusque-là, comme nous le lisons dans le journal "Romanaţul" no. 17 du 5 Avril 1915, les dirigeants de la ville, des personnes atteintes de fausses conceptions et „petites âmes“ ne trovent pas bon faire à faire construire „un magnifique monument“ à celui qui a donné toute sa fortune (trois millions de lei) à la ville Caracal, „poussé par l'amour qu'il portait toujours aux fils de Romanaţi, où beaucoup d'années ila était leur représentant dans le Parlement du pays“.

Le piédestal avec le buste en bronze du „grand philanthrope et homme debien a été fait en 1928 sur le site où est actuellement le monument "Evocation 1848". Après 1945, le buste a été détruit, étant reconstruit par les représentants de la municipalité en 2008 et placé sur la côté sud, à l'entrée principale du jardin public.

Le jardin public „Constantin Poroineanu“ exige toute l'attention, l'appréciation et les efforts afin de le conserver tel comme il a été donné par nos prédécesseurs, un paradis vert avec plusieurs destinations: repos, promenade, loisirs, tourisme, sujet d'études scientifiques, „poumon